
Le café sans nom de Robert Seethaler
Ingrédients :
1 ville - les années 60' - 1 lieu - des citoyens - des rencontres - 266 pages.
Recette :
1. Débutez votre préparation à Vienne en 1966, dans l’après Seconde guerre mondiale dont des traces sont encore perceptibles.
2. Ouvrez une grande boîte d’espoir et plongez-y des hommes et des femmes, personnages attachants et tous très différents. Parmi eux : Robert Simon, le narrateur de cette histoire.
3. Ajoutez une quantité de bavardages, des potins, des drames du quotidien et une bonne dose d’agitation autour de la vie qui reprend.
4. Faites mijoter et parsemez le tout de poussière, d’une mesure de douceur et d’une autre d’amour.
5. Finalisez votre recette en n’oubliant pas cette pincée essentielle d’ambiance chaleureuse qui caractérise les lieux que l’on n’a pas envie de quitter.
6. Poussez la porte du Café sans nom, au cœur de la capitale autrichienne et dégustez, en pensant à ceci : « Il faut toujours que l’espoir l’emporte un peu sur le souci. Le contraire serait vraiment idiot, non ?».